Après un long
silence, je me décide à faire un petit compte-rendu de la séance de dédicaces
que j’ai faite mercredi dernier, le 26 octobre à la Presse du Buguet, à Fronton
(endroit où je suis allée au collège, au lycée, et où j’ai eu un super génial
prof de philo dont je pique encore les cours pour faire les miens et qui n’aimerait
pas du tout savoir que je parle de lui aujourd’hui).

D’abord, je
replace toute l’histoire en contexte : la dernière fois que j’ai fait une
séance de dédicaces, c’était aussi à Fronton, c’était il y a dix ans
maintenant, pour le petit livre que je garde secret pour que les espions ne me
retrouvent pas… enfin, surtout parce que je n’en suis pas fière ! C’est
ça, les écrits de jeunesse ahahah ! Bon, parlons de cette séance de
dédicaces : ça n’a jamais été ma grande passion. Non pas par timidité,
parce que j’aime beaucoup parler aux gens, leur demander ce qu’ils font dans la
vie et ce qu’ils aiment lire. Ce dont j’ai horreur, à vrai dire, c’est de
vendre. Je ne sais pas le faire. Je ne sais pas dire en face des gens que mon
livre est génial et qu’il faut absolument qu’ils le lisent ! Heureusement,
j’étais dans une formidable librairie, avec des super personnes qui savaient
très bien le faire. Bon, je n’ai pas pu échapper aux : « Alors, ça
parle de quoi, votre livre ? » Mais même si je n’aime pas du tout
parler de mes livres, j’ai fini par m’y habituer au cours de l’après-midi et ça
s’est bien passé.

Voilà, et suite
à cette journée, je suis prête à en refaire, peut-être pour Noël ! Et
peut-être aussi que je commencerai bientôt à parler de mon prochain roman à
paraître, quelque chose d’encore très différent de ce que j’ai écrit jusqu’ici,
et qui s’appelle… Masques.